Buenos dias
Déjà ma 11ème journée au Mexique. Je ne réalise pas encore tout à fait ce qui m’arrive. Je suis encore synchronisée au rythme du travail. Mes premières journées ont été passablement occupées car nos effets personnels sont arrivés lundi le 26 février donc j’en ai eu pour quelques jours à m’occuper. Nous somme installés mon conjoint (Yves) et moi dans un site magnifique et sécuritaire. L’environnement est très beau. Un fait assez spécial, nous sommes entourés de montagnes donc un volcan le Popocatépetl qui fume constamment. Dépendamment des journées la présence de smog provoque un brouillard plus ou moins dense en altitude.
Les gens ici ne sont pas très soucieux de la pollution environnementale et à la sécurité routière. En effet, il y a plusieurs voitures sur la route et la conduite est assez téméraire. Le port de la ceinture est très aléatoire et ce même pour les enfants. Il est fréquent de voir de jeunes enfants assis à l’avant sans être attachés. Aucun système anti-pollution n’est obligatoire sur les véhicules et le nombre important d’autobus augmente l’émanation de fuel dans l’air. A Puebla c’est moins marquant qu’à Mexico, mais tout de même à mon arrivée j’ai senti la différence.
En ce qui concerne la nourriture je m’adapte, et même trop bien. J’ai fait la découverte d’un Steak House Argentin où j’ai mangé un steak absolument savoureux. Le meilleur que j’ai mangé à ce jour. J’ai partagé un souper avec Diane Martel et Louis Paré que plusieurs d’entre vous connaissez.
J’ai déjà commencé à découvrir Puebla et les environs. Puebla est une ville qui a un centre historique tout à fait charmant. J’ai eu la chance de déjeuner sur une terrasse dans le vieux Puebla au son de la musique mexicaine. La vieille ville regorge de marchés et d’ d’expositions d’artistes peintre. Les toiles exposées sont très belles, très colorées. Une superbe cathédrale se dresse au milieu de la place publique. Je suis tombée en amour avec le vieux Puebla.
J’ai également passé une nuit à Mexico. J’aurai la chance d’y retourner régulièrement car Yves doit s’y rendre occasionnellement pour des rencontres avec les bailleurs de fonds. J’avoue que je devrai m’adapter car lire au bord d’une piscine et boire un bon letchero pendant que mon chum est en rencontre de travail demande quand même une grande compétence d’adaptation aux changements. Je pense cependant y arriver.
Sans blague à ce jour l’expérience que j’amorce est au-delà de mes attentes. Dans un prochain courriel je vous raconterai mon dernier week-end, lequel j’ai passé à Veracruz, à suivre et je vous joindrez des photos.
Adios.
Hasta pronto
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire